2007/11/30

Congé de maternité

Ça y est, elle est partie. Officieusement hier, officiellement aujourd'hui.

Elle a quitté, avec son grand sourire et sa grosse bedaine.

Depuis ce temps, je me sens drôle.

2007/11/28

Ne me juge pas!

Ce soir, j'ai franchi une nouvelle étape de ma vie de femme. Effectivement, à l'aube de la trentaine, j'ai, pour la première fois de ma vie, fait partir le lave-vaisselle toute seule! Je dit bien partir, parce que pour ce qui est de le vider, c'est plutôt courant.

(Je précise qu'avant d'habiter ici, jamais je n'avais partagé mon espace vital avec cet engin. de plus, comme il y a des boutons, je laissais chéri se faire plaisir, sans aucun regret.)

C'est ce soir que ma vie a changé! À moi la vaisselle propre sans avoir les mains ratatinées!

Si seulement cette superbe machine était capable de finir son boulot comme il faut en séchant bien les plats de plastique...

2007/11/26

Le coin de jardin

Tout va bien. En fait, tout va de mieux en mieux. La garde s'endort lentement, la confiance gagne en maturité, le sentiment de sécurité ose même montrer le bout de son nez. Le temps a coulé et, comme une couverture chaude, il a réchauffé le coeur frileux.

Soudainement, sans contexte ni prétexte, il y a un petit serrement. Presque rien. Son murmure est tellement bas qu'il faut tendre l'oreille pour s'assurer que c'est bien lui qui se manifeste. Il n'est pas propulsé par un événement précis, en fait, il a pris sa source directement dans le passé et se permet de s'agiter comme ça, une fois de temps en temps.

Comme si le coeur ne pouvait être totalement détendu. Comme si la menace pouvait prendre forme encore une fois. Et pourtant, rien ne le justifie, il est juste là, guettant sournoisement une soirée où le corps et l'âme sont plus fatigués qu'à l'habitude. Parce qu'il n'a pas été entendu la première fois, alors qu'il criait "Au loup!" pour vraiment lui avoir vu la queue, il tient, à intervalle irrégulier, des pratiques d'évacuation en sonnant l'alarme.

Heureusement, il y a la petite voix, celle qui discute fort avec le tremblement. C'est grâce à elle que tout est encore possible, car elle est assez puissante pour tout ramener à sa taille réelle et chasser les montagnes de nuage. Elle voudrait tant qu'il cesse de harceler, qu'il comprenne que cette fois-là, l'histoire sera différente. Elle négocie son silence en promettant de parler à voie haute si un doute s'avance. Elle lui conjure de quitter, de laisser le coeur battre comme il l'entend, avec toute la spontanéité dont il est capable.

Oui, le coeur est bien au chaud, collé contre celui sur qui il fait bon se réchauffer. Il aime joindre son rire au sien. Il sait que ses larmes seront recueillies délicatement. Le coeur a mis du temps à y croire, mais là, il ne veut plus revenir en arrière. Il a trouvé un coin de jardin où il sait qu'il pourra devenir un arbre grand et fort.

2007/11/25

Le clan des 3 B

Pourquoi, alors que je mets mes vêtements dans la laveuse, que je les transfère dans la sécheuse ou encore que je les transporte pour les plier, le clan des 3 B s'acharne immanquablement?

Je n'ai pourtant pas besoin de jouer au Petit Poucet, je n'ai pas vraiment la possibilité de me perdre dans la maison. Malgré cela, chaque fois, c'est inévitable, je dois refaire mon chemin en sens inverse pour rammasser les bas, bobettes et brassières qui m'ont fait faux bond.

Jamais un pantalon n'oserait m'affronter de la sorte!

2007/11/24

MissRyvie, lutine de Noël

C'est parti, les achats de Noël sont officiellement initiés!

Hier, cadeau pour l'échange au bureau. Rien de bien extraordinaire, mais l'idée est intéressante, je suis contente et certaine d'être la seule cette année à y avoir pensé (l'an dernier, nous sommes trois à avoir eu la même idée!!!).

Par contre, c'est ce matin que la lutine en moi a vraiment pris du service! Grâce à mon intuition féminine (ou au hasard!), j'ai eu l'idée géniale d'aller magasiner le cadeau 1 pour mon chéri. Une idée du tonnerre! J'en suis vraiment satisfaite et je crois bien qu'il le sera aussi.

Toujours est-il que, ce matin, le plan initial prévoyait des heures et des heures passées sous les couvertures à dormir bien paisiblement. Malheureusement, un des désavantages de la vie de duplex m'a tirée hors du lit environ 3 heures plus tôt que prévu... Et c'est là que je me suis dit que, tant qu'à être debout, je pouvais commencer mon magasinage.

Arrivée devant les étalages, je me suis buttée à mon ignorance... Heureusement, l'achalandage dans les magasins étant ce qu'il est le samedi matin, j'ai été conseillée comme une reine et j'ai reçu le service qu'un tel titre exige. Devine quoi? Il restait un seul exemplaire du modèle recommandé!

Alors voilà, ce matin, samedi 24 novembre, à un mois de Noël, MissRyvie la lutine a frappé pour la première fois!

2007/11/23

Novembre

Je pensais bien me sauver des effets néfastes qu'a toujours eu le mois de novembre sur ma petite personne. Erreur.

Le manque d'énergie me rattrape, au moment où j'ai besoin de toutes mes facultés. La pression au bureau est grande, les mandats sont intéressants et pourtant, il y a des moments où je laisserais tout ça derrière moi pour une journée film-pyjama.

C'est étrange de voir à quel point le manque de soleil peut faire autant de ravage...

Novembre sera bientôt chose du passé. Enfin!

2007/11/20

Après l'homme qui a vu l'ours...

... la femme qui a vu le chevreuil!!!

Hier, sur l'autoroute, en revenant de Montréal, il était là! Moi sur la voie de droite, lui sur la voie de gauche. Alors qu'il semblait prendre une marche de santé, avançant lentement mais sûrement, nous l'aurions percuté à coup si nous avions été dans "sa" voie.

Disons que ça donne un bon boost pour rester attentif à la route!

2007/11/18

La zone grise

Rencontre de concertation aujourd'hui entre les différents intervenants du milieu culturel de ma région, particulièrement au niveau des arts de la scène. Première partie de l'après-midi pour ce qui a trait à la musique, deuxième partie pour le théâtre et, supposément, les arts du cirque.

J'ai donc pris mon samedi après-midi pour aller discuter de ma réalité de producteur et diffuseur en art du cirque et de la rue.

Quelle belle naïveté de ma part! Sur deux heures trente de pelletage de nuage et de flattage de pelage, les arts du cirque occuperont peut-être deux lignes et demi du résumé final. Pas de place pour discuter, désintérêt total des gens autour de la table et de ceux qui menaient la rencontre envers ce qui ne touchait pas les salles, les cachets des comédiens, les textes, l'UDA, etc. Par contre, je pourrais maintenant vous parler des problématiques du milieu théâtral comme jamais! Ils avaient le plancher de danse quasi en exclusivité.

C'est bien beau de vouloir bien paraître en intégrant les arts du cirque, sauf qu'encore faut-il passer à l'acte.

Les arts du cirque, et plus particulièrement les arts de la rue, font partie d'une zone grise à laquelle peu de gens osent toucher... Ce n'est pas vraiment de l'art, pensent-ils. Ce n'est pas vraiment du sport, pensent-ils également. Pendant ce temps, je poursuis mon travail, sachant que peu importe, il y aura toujours suffisamment de gens passionnés pour faire passer cette forme d'expression plus loin que la nuit des temps.

Bienvenue dans ma zone grise! N'ayez crainte, le gris n'est pas représentatif de toutes les couleurs portées et semées par les artistes du cirque et de la rue!

Je retournerai donc au bureau lundi sans support supplémentaire de la part de cette instance, mais avec la certitude qu'il est important de continuer à se battre que la reconnaissance devienne naturelle.

2007/11/16

Amenez-en!

Aujourd'hui, j'ai passé une vraie belle journée.
Pas que les précédentes étaient mauvaises, loin de là.
La différence, c'est que c'est ma vie personnelle qui a été choyée, elle qui est trop souvent camouflée sous la vie professionnelle.

Je disais donc une journée extraordinaire.
De la complicité mur à mur avec mon chéri, des rires, des mots gentils, de belles attentions.
Ces moments sont malheureusement souvent pénibles à réserver, à préserver.
Toutefois, ils arrivent lorsqu'on s'y attend le moins, et c'est probablement ce qui les rend aussi agréables.

Le boulot est un piège sournois.
Il nous accapare, nous isolant chacun dans notre petit monde.
Se retrouver est comme un pied de nez à toute cette agitation.

Jamais une visite au Club Price n'aura été aussi agréable, malgré la facture...

Tout ceci pour dire que, des journées (ou du moins des parties de journée) comme ça, amenez-en, je suis capable d'en prendre!

2007/11/14

Prendre le temps de ratatiner

Pour toutes les journées interminables, le calendrier barbouillé de rendez-vous de toutes sortes.
Pour la course qui se poursuit à la maison avec le lavage, les repas, le ménage.
Pour le temps que l'on garde jalousement pour soi, simplement pour avoir l'impression de ne pas toujours courir pour rien, sans jamais avoir réellement l'impression d'en profiter.

J'ai goûté hier à un baûme extraordinaire.

Voici les ingrédients:
- Un bain très chaud, parfumé de kiwi-carambole.
- Une lecture très légère qui ne demande aucun jus de cerveau.

J'ai même eu droit à un boni: chéri qui joue du piano!

Évidemment, toute bonne chose finie toujours par avoir une fin, mais je te jure que j'avais la peau hyperhydratée quand j'ai émergé!

Et je suis allée me coucher...

Hymne à la joie

Un mois à me croiser les doigts, à espérer.
Un mois à y penser à tous les jours, à me dire "Quand je vais lui raconter...".

Retenir mon souffle, mieux que les mots ne l'auront été.
Taire pour que ça reste encore possible, que ce ne soit pas tout-à-fait réel.
Faire semblant qu'il ne s'est rien passé, au cas où le vent tournerait.

Puis, alors qu'on est prêt à abdiquer, voir son nom apparaître.
Ressentir l'ouverture, retrouver le bonheur d'écrire la même chose en même temps.
Preuve que malgré tout, le lien existe encore.

Après un mois, sentir s'envoler un poids de tristesse.
Je ne regrette pas, mais j'ai eu peur.

L'avenir? Aucune idée. Un jour à la fois, prudemment.
L'important, c'est qu'il y a maintenant à nouveau un avenir!

Faire d'un texte, initialement prévu pour être dédié au deuil, un hymne à la joie.
Parce que, encore une fois, la vie est arrivée à l'heure pile.

2007/11/11

Conversation

"Et toi, MissRyvie, as-tu des idées, des suggestions?"

"Mais oui, justement!"

Savoir s'assumer

Lors d'un barrage routier pour une levée de fonds, les chances que vous connaissiez la personne qui attend au coin de la rue en sautant sur place pour se réchauffer tout en tenant fermement la petite chaudière pour mettre les sous. Donc, cela signifie que vous n'avez pas à avoir peur de paraître cheap.

Si vous passez au coin, en regardant fixement devant vous, ne tournant même pas un peu le regard de peur de croiser celui de la personne bénévole, vous n'êtes pas cheap, vous êtes lâche. Honnêtement, c'est dangereux de conduire ainsi!

Si vous vous arrêtez avant d'être à la hauteur du bénévole pour ensuite foncer en malade à l'arrêt que votre prédécesseur vient de quitter, là aussi, vous êtes dangereux. Dites-vous que le bénévole ne forcera jamais la portière de votre voiture pour vous obliger à donner.

Si vous ne voulez pas donner, que vous n'avez pas de monnaie ou que vous l'avez déjà fait plutôt dans la soirée, c'est correct. Vous n'avez pas besoin de vous justifier, le bénévole n'a pas nécessairement envie de savoir pourquoi vous n'avez pas d'argent sur vous.

Finalement, couper par le terrain d'un poste à essence pour éviter de vous assumer en ne donnant rien vous donne un air ridicule.

Si vous donnez, c'est sur une base volontaire. Cela signifie donc clairement qu'il n'y a aucune obligation de votre part.

2007/11/07

N'importe quoi et un peu plus

Bonne nouvelle, mon nez semble décongestionné pour de bon! Les nuits sont plus efficaces, ma consommation de mouchoir est redevenue raisonnable, ma concentration atteint même un dégré d'efficacité appréciable!

J'ai retrouvé mon bureau aujourd'hui! Après en avoir été chassée pendant quelque jours, le temps de lui redonner un air de fraicheur avec une peinture sur laquelle je n'ai pas eu mon mot à dire, le calvaire prend fin. Mon aménagement temporaire était pour le moins douteux et m'a causé un léger retard. Comme c'est maintenant chose du passé, la machine peut enfin se remettre en marche!

Enfin, une soirée avecc rien ou presque à l'horaire! Avec l'agitation qui règne au travail et les nombreuses activités de soirée à l'agenda pour cette semaine, d'être en pyjama devant l'écran, sans contrainte de temps pour le souper, relève de la jouissance! Ne manque que chéri...

Incroyable mais vrai, le Père Noël arrive samedi! Grosse journée de boulot en perspective! Heureusement, j'aurai autour de moi une équipe de professionnels à qui je sais que je peux faire confiance.

Je tente présentement de sauver mon manteau d'automne (qui a finalement servi tout l'hiver!) de l'an dernier. Je ne l'ai pas payé cher et j'avoue avoir fait une petite prière en le mettant dans la laveuse... Le timing serait tellement mauvais si je devais investir là-dessus maintenant! (edit: le bon Dieu existe! S'il ne fait pas trop froid, je reprendrai à nouveau mon look de menthe rose cet hiver!)

5 repas identiques au cour d'une même semaine... je commence à souffrir du manque de variété. Ce n'est pas parce que ce n'est pas bon, mais un moment donné... D'un autre côté, le gaspillage n'est pas une super bonne idée non plus... Misère!

Demain soir, à pareille heure, je serai sur le coin d'une rue avec quelques-uns de mes collègues à me les geler tout en donnant généreusement mon temps pour une bonne oeuvre... Il ne faut pas qu'il pleuve... À la recherche d'un chandail chaud, 4 heures, ça peut être long!

Tout à l'heure, j'ai ouvert pour vrai la page d'un des blogs que je lis régulièrement et j'ai sursauté. L'aggrégateur, c'est bien utile, mais pour des gens paresseux et/ou n'ayant pas beaucoup de temps comme moi, c'est dommage puisqu'à part si le goût de laisser un commentaire me tenaille, j'en reste à ma lecture directe... Comme si je passais mon temps à regarder par une fenêtre plutôt que de prendre le temps d'entrer vraiment.

J'ai une envie folle de magasiner... comme toutes les fois où mon budget me l'interdit formellement. Ma liste de besoins réels s'allonge et celle des frivolités aussi, c'est presque déprimant! Farce à part, je n'ai toujours pas assouvi mon envie de McDo! Je peux quand même être disciplinée quand je le décide vraiment!

C'est ça que ça donne quand je cours trop longtemps sans m'arrêter. Quand le rythme ralenti, j'en profite pour t'endormir avec un tas d'inepties... Désolée, mais après tout, j'avais averti dès le départ!

2007/11/06

Il ne faut pas le prendre personnel

C'est ce que j'ai dit à mon dentiste ce soir, en lui avouant que lui rendre visite n'était jamais ce que je pourrais appeler une partie de plaisir, même en y mettant toute ma bonne volonté. Je n'ai rien contre lui, il est vraiment sympathique, compétent et compréhensif. Bref, c'est une bonne personne.

Par contre, je sais très bien que de l'avoir à côté de moi signifie entendre des sons qui me donnent la chaire de poule des oreilles aux orteils. Je sais encore plus qu'entrer dans son bureau signifie faire sortir de gros sous.

Après plusieurs rencontres, les premières en urgence, les suivantes en prévention, mission accomplie, j'ai une gueule flambant neuve! Elle est gelée, mais elle est correcte. Ne reste qu'à payer... et à me croiser les doigts pour que mes petites amies en émail me fichent la paix pour longtemps, dents de sagesse incluses.

J'ai un bon dentiste et un bon garagiste. Tous les deux savent que je les apprécie beaucoup, mais que moins je les vois, mieux je me porte et il n'y a rien de personnel là-dedans!

2007/11/05

Ma carrière

J'aime quand ça bouge autour de moi.
J'aime essayer de nouvelles choses, expérimenter, découvrir.

Quand j'ai choisi mon domaine d'études, il devait impérativement y avoir un aspect humain à la profession. D'abord parce que j'aime les gens, mais surtout parce que ça m'assurait un avenir rempli d'imprévu, chaque être humain étant unique par rapport à son voisin.

La vie a fait en sorte de me satisfaire plus que je ne l'avais espérer. En me guidant petit à petit vers mon travail actuel (lequel ne n'avait jamais traversé l'esprit d'ailleurs!), elle m'a permis de faire plein d'expériences, d'apprendre à distinguer ce qui me plaisait de ce qui m'ennuyait.

Je peux dire que je suis maintenant à ma place, que je navigue avec aisance dans un univers fou, rapide, stimulant et exigeant. Vu de l'extérieur, mon emploi peut paraître inutile ou encore puéril. Je ne crois pas que ce soit le cas. Je ne sauve pas des vies, c'est vrai. Par contre, j'offre le sourire et la possibilité de s'émerveiller et c'est avec conviction que je donne le meilleur de moi-même tous les jours.

Des défis d'une ampleur incroyable s'emboîtent les uns aux autres depuis quelques temps. Les prochaines années seront certainement une période phare de ma vie professionnelle. Quand je m'arrête, ça me fait peur. Peur de ne pas être à la hauteur, de me la péter solide. Par contre, dès que j'ai l'occasion de parler de mon boulot et de mes projets, mon coeur s'emballe et je me sens vivante et forte comme jamais. Plus rien ne compte que de mener la barque vers de nouveaux horizons, d'atteindre de nouveaux sommets. Chaque réussite est une fête.

Et ça, comme le dit l'annonce de je ne me rappelle plus quoi à la télé, je ne veux pas que ça arrête. J'ai enfin devant moi ce que j'appelle une carrière!

2007/11/04

Famine!

Parce que ma voiture m'a subtilisé les moyens nécessaires pour assouvir mon envie de McDo,
Parce qu'il n'y a plus de pain pour que je puisse me simplifier la tâche avec un souper de rôties au beurre d'arachide,
Parce qu'il n'est pas recommandé de consommer des produits laitiers tout en ayant un rhume (ça fait augmenter les sécrétions... eurk, merci, mais je vais passer mon tour), le bol de céréales est aussi mis sur la liste noire,
Mon estomac crie famine et ose refuser les quelques solutions encore possible.

C'est pathétique, mourir le nez plein et le ventre vide...

2007/11/03

Ce qui devait arriver...

Après plusieurs semaines de tergiversation, voilà que le vilain virus passe à l'attaque. Mal de gorge, congestion, fièvre. Évidemment, le tout accompagné de mon dos qui n'a pas encore passé l'étape du choc post-traumatique.

Douze heures de dodo n'auront rien arrangé, à par le fait de frustrer mon sciatique, lequel me fait la gueule sauvagement depuis que je suis debout.

En plein le jour où j'ai un super party devant moi. Tant pis, je ne sais pas dans quel état j'y serai, mais j'y serai!

2007/11/02

Constat

Rien de pire que d'avoir peur de devenir paraplégique du jour au lendemain pour nous faire prendre conscience de l'importance de nos jambes.

Un incident banal, une douleur vive.

Ça se replace lentement... plus de peur que de mal... enfin presque!