2006/08/03

Deux...

Ce qui est dit.
Ce à quoi la personne pensait en le disant... peut-être beaucoup, peut-être pas grand chose.
Le ton, le choix des mots, le contexte, le message.

Ce qui est entendu.
Ce qui est interprété par la personne qui le reçoit.
Le ton, le choix des mots, le contexte, le message.

Trop de distance, trop de place à l'imagination galopante.
Parce que la personne qui reçoit a déjà réfléchi, donnant une signification au message reçu.
Parce que la réflexion est toujours restée secrète.

Trop de distance, trop de place à l'imagination galopante.
Parce que l'insécurité est toujours présente, cachée dans un coin du coeur.
Parce que la peur est championne dans l'échaffaudage de drame non fondé.

Deux têtes, deux modes de réflexion.
Deux vies, des rêves à l'infini.
Une jonction...

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Eh, j'espère que ça va bien!

A plus!

Vanille

p.s. Beau texte.

8:05 a.m.  
Anonymous Anonyme said...

Excellente réflexion. Qui sait, dans quelques années, le titre pourrait changer en «Trois...». Du genre : «Deux réflexions. Deux explications. Deux compréhensions. Une nuit. Ils sont trois.»
:-)

9:15 a.m.  

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