2007/12/12

Etc., etc., etc.

Il me reste une semaine et un jour avant le congé de Noël... il est temps...

Une paire de soulier qui est restée des années dans la garde-robe ne devrait peut-être plus en sortir pour autre chose que pour les poubelles. Malgré tout, une fois un certain seuil de douleur passé, on a tellement mal qu'on ne sent plus rien... et on se lance quand même sur la piste de danse. Conclusion de l'histoire? Les souliers sont retournés se cacher jusqu'à la prochaine fois où je me demanderai inévitablement encore pourquoi je les ai toujours et que la réponse sera inévitablement la même: c'est les seuls qui conviennent à la tenue et t'es trop pauvre pour investir dans une autre paire qui ira à son tour moisir dans le placard faute d'occasions dignes de mention...

Lorsque la peau du bout du doigt "qui fait tout" décide de sécher, de fendiller, de se soulever, etc., etc., etc., c'est une très mauvaise idée de se lancer dans le ménage... Les produits nettoyants n'ont pas beaucoup de compassion...

Il suffit de ne pas pouvoir faire quelque chose pour en avoir une envie folle. Si j'avais pu prendre un bain ce soir, pas certaine que l'idée m'aurait parue aussi séduisante... Si j'avais eu des sous, pas certaine que le besoin d'avoir une nouvelle tite-robe d'hiver se serait autant fait sentir...

C'est vrai, c'est plutôt joli de voir les arbres couverts de givre. Par contre, ce n'est pas nécessaire de se pâmer à chaque passage devant une fenêtre! Ne l'oublions pas, on est en hiver et ça veut dire qu'il fait froid, qu'il faut s'habiller en multi-couches, qu'on ne peut sortir les cheveux humides, qu'il faut pelleter encore et encore, etc., etc., etc., ...

À toi, amateur de films dramatiques, je t'invite dans ma tête. Depuis quelques temps, plusieurs tournages sombres et mélancoliques sont en cours. Évidemment, peut-être à cause de coupures de budget, il y a fréquemment des arrêts de production pour laisser la place à des comédies mielleuses teintées de bonheur mur-à-mur. Il n'est donc pas garanti que le trame sera excessivement logique et bien ficelée.

À faire avant Noël: finir l'achat des cadeaux, emballer tout ça, faire un peu de cuisine, beaucoup de ménage, etc., etc., etc.

Alors que mon travail m'amène souvent dans la grande métropole, voilà que le vent tourne et que je devrai me rendre à Québec à deux reprises pendant mes vacances. Pas moyen de décrocher pour vrai... Note à moi-même: imprimer les trajets avant de quitter le bureau pour les deux semaines de simili-vacances.

Tout ce bavardage inutile devait m'enlever le goût de me faire tremper dans l'eau chaude avec un bon bouquin. Échec.