2008/10/18

Mon interprétation

Il y a la peur usuelle.
Celle qui signifie en fait "Je n'aime pas ça." ou encore "Ça me répugne." Rien de viscéral, juste assez intense pour lâcher un cri de sursaut. En fait, cette peur-là peut même devenir rigolote. Avec un peu de volonté, on peut quand même arriver à se désensibiliser, surtout quand on a de drôles de clowns dans son entourage qui se sont fait un point d'honneur à jouer avec le bouton panique le plus souvent possible.

Il y a aussi la phobie.
Plus grave, elle peut entraver sérieusement la vie de celui qui la vie. Une cause, un effet. Ce n'est pas à prendre à la légère, mais j'ai aussi vu des gens trouver le moyen d'en rire. Paraît-il qu'il existe des thérapies efficaces... je n'en sais rien, je ne m'y connais pas suffisamment pour m'avancer sur le sujet.

Finalement, la terreur.
Elle est ponctuelle, liée à un événement précis et génère une émotion unique. Elle empêche de dormir, elle crispe les nerfs et les muscles. De la tourner en ridicule ne fait pas apparaître de sourire, mais des larmes. La terreur devient comique après coup, quand on se rend bien compte que ce n'était pas fondé. Mais avant de se rendre là... Le mieux à faire pour les gens qui côtoient une personne momentanément atteinte de terreur, c'est de se faire rassurant et de laisser de côté les possibilités de drames.

Alors voilà, présentement, je me situe au niveau terreur. Ça passera, mais en attendant, soyez fins... d'ici un mois, tout devrait être rentré dans l'ordre!