2007/12/28

Source inconnue

Lu ou entendu quelque part... la source s'est effacée, mais pas le propos.

Une âme écorchée vive a le devoir de se dissimuler en société. Ça n'intéresse personne de voir ses semblables souffrir. Par contre, une fois seule, il est étrange de constater que l'âme endolorie poussera souvent l'enveloppe corporelle à s'empiffrer à en avoir mal au coeur, manger le plus de cochonneries possibles plutôt que de laisser libre cours à sa souffrance en échappant les larmes inutiles mais combien libératrices.

Morale de l'histoire: quand tu as de la peine, soit fort en public, mais une fois seul, laisse aller et pleure! Me semble que c'est simple!

2007/12/27

Histoire tragique de la fin d'un destin

L'histoire commence il y a de cela bien des années. Une fillette, ayant à peine goûté à l'âge de raison, a décidé de la couleur qu'aurait son destin.

Les années sont passées et la petite fille a emprunté la route de ce qu'elle appelait secrètement sa voie, le chemin de sa vie.

Elle avança, parfois à la course, parfois en rampant. Jamais un autre chemin lui a paru suffisamment alléchant pour qu'elle délaisse le sien. La vie étant ce qu'elle est, il y eu quelques détours pour cause de travaux, mais elle y revenait toujours. Malgré les trous dans la chaussée, malgré les interminables feux rouges, elle regardait droit devant. En fait, bien qu'elle soit encore loin, elle voyait la lueur scintillante là, tout au bout.

Alors qu'elle approchait de la partie asphaltée, celle où il allait enfin être possible de toucher la source de lumière, un épais brouillard apparu. Le jeune femme a du ralentir sa progression. Ça devenait dangereux d'avancer à l'aveuglette. Malgré toute les embûches rencontrées au cours de son périple, jamais le ciel ne s'était assombri de cette manière. Y voyant un signe, elle tendit les mains devant pour éviter de se briser le nez sur un obstacle qui aurait surgi de nulle part.

C'est par une nuit d'hiver que le contact se produisit. Alors qu'elle dormait, quelque chose la tira de son sommeil, sans raison précise. Sans savoir pourquoi, elle se leva et c'est à ce moment-là qu'elle a plié de douleur. Tel qu'elle l'avait craint, sa main a touché un mur. Un grand mur, froid, solide.

Cette nuit-là, elle a compris que toutes ces années, elle avait avancé, motivée par un mirage.

Cette nuit-là, elle pleura son destin. Il était mort, tragiquement.

Le lendemain, bien que brisée, la jeune femme existait toujours. Une fois les larmes épuisées, elle regarda à gauche, puis à droite, à la recherche d'une nouvelle route. La gauche était une pente abrupte. S'y diriger permettrait de s'enfuir rapidement. Peut-être même que ce chemin la ramènerait de l'autre côté du mur, qui sait. Il menait peut-être aussi vers un énorme trou noir. Le risque était grand.

Vers la droite, bien qu'il soit impossible de voir la fin du trajet, de nombreuses balises bordaient l'accotement. Des signes, des émotions, des regards qu'elle connaissait bien. Elle se sentit rassurée, car elle avait craint de les avoir perdues, elles aussi. Elle se rappela alors l'absence total de lumière dans l'autre voie.

Bien qu'elle ne savait plus où sa vie devait la mener, la jeune femme a fait un pas à droite. Elle avait peur. Peur d'avoir échoué sa vie, peur de passer à côté de quelque chose d'important, mais par-dessus tout, elle a eu peur de perdre ses balises.

Le deuil d'un destin ancré dans l'âme depuis si longtemps est douloureux. Son souvenir ne peut être jeté à la poubelle comme on le ferait d'une boîte de jus vide. Avant de poursuivre son périple, la jeune femme devra se refaire des forces, car nombreux étaient ceux à connaître la route que la petite fille avait choisi, il y de cela une éternité.

Alors voilà: par une nuit d'hiver, à 5 h du matin, un destin est mort tragiquement devant les yeux de celle qui l'avait porté toutes ces années.

2007/12/25

Noël 2007

Finalement, l'esprit de Noël m'a trouvé... au moment d'ouvrir les cadeaux!

De voir tout-p'tit tripper fort avec son nouveau toutou a été le déclic. Par la suite, tout s'est enchaîné.

Voir le sourire, entendre les wow, voir les yeux briller, ça me procure un état de bien-être très euphorisant.

De retour à la maison, le train-train a immédiatement pris le dessus, mais au moins, j'aurai savouré pendant quelques heures mon Noël 2007!

En souhaitant qu'il en aura été de même pour toi!

2007/12/24

Magie défectueuse...

Voilà, j'y suis arrivée. Malgré que mon corps et ma tête ne semblent pas s'apercevoir qu'on est bel et bien à la veille de Noël, mon agenda est à peu près à jour, en tout cas, suffisamment pour que le minimum requis soit atteint.

Les plombiers quitteront bientôt définitivement et j'attends ce moment avec impatience, car je pourrai enfin me garrocher sous l'eau chaude.

Où est passée la magie?

Admettons que cette année soit hors de l'ordinaire, l'an prochain, je veux sans faute retrouver ma fébrilité, car Noël sans ça, c'est vrai qu'on approche du Noël "commercial" que tout le monde décrit sans pour autant se prendre en main.

Il me reste tout de même quelques heures pour me mettre dans l'ambiance...

En attendant...

Pas envie de me coucher sans toi, de m'endormir sans le rythme apaisant de ta respiration.
Pas envie de réchauffer toute seule les draps, d'avoir un oreiller froid comme compagnon.
Pas envie de me sentir libre de ton bras, de ne pas sentir ton souffle dans mon cou.

Il y a l'espace et tout plein de couverture juste pour moi.
Il y a la quiétude que je ne t'empêcherai pas de dormir.
Malgré tout cela, la balance rend un verdict clair et précis.

La nuit est plus noire quand tu n'y es pas.
Le froid est plus mordant lorsque tu es loin.
Le bruit de ton absence est beaucoup plus intolérable que le silence de ta présence.

À ton retour, les draps seront chauds.
Je prendrai un peu plus de place qu'autorisé, mais la tienne sera disponible.
Mon sommeil accueillera ton bras avec une joie discrète mais intense.

Nous pourrons alors profiter de quelques heures de bonheur endormi.
Nos retrouvailles seront célébrées par mon soupir de soulagement.

2007/12/23

S'il-vous-plaît!

Serait-il possible de retarder Noël d'une semaine? Bon, ok, disons trois jours!

En fait, j'ai l'étrange impression de devoir courir après ma queue (hé non, je n'en ai pas vraiment, c'est une image littéraire!) pour y arriver en même temps que tout le monde.

Habituellement, mes cadeaux sont achetés en novembre et emballés tôt en décembre. Ne reste par la suite que les petites recettes-gâteries à cuisiner.

Cette année? Nous sommes le 23 décembre, il me manque encore un cadeau, il n'y en a pas un d'emballé et les recettes accumulent leurs ingrédients sur le comptoir. À travers ça sévit mon manque de sommeil, les corvées de ménage habituelles et les extras (vive les vacances...) et l'envie féroce et accablante de décrocher sévèrement quelques jours ou, du moins, quelques heures.

J'ai été sage (comme toujours!), mais là, je suis à la veille de mettre chaque cadeau dans un sac d'épicerie et d'y coller une boucle!

2007/12/22

Test pratique

Cette nuit, j'ai changé la couche de ma fille (que je n'ai pas!) sur la banquette arrière de ma voiture. L'espace est plutôt restreint et ça oblige la colonne vertébrale a tenter de maintenir des positions inusitées et inconfortables, surtout qu'en plein hiver, il faut absolument fermer les portières!

Ce n'est pas l'idéal, surtout qu'en réalité, il y aurait aussi eu un siège d'auto, mais un coup mal pris, c'est faisable.

Délinquance

Hier était ma dernière journée officielle de boulot pour 2007. Je dis officielle parce que j'ai quelques contrats pendant le temps des fêtes et quelques activités de représentation. Reste que là, je suis en vacances.

J'ai amorcé le tout avec une soirée Nez Rouge. Hé non, je ne me suis pas permise la virée dont j'aurais tellement envie, j'ai été bénévole. Je me suis donc couchée à l'aube (enfin, si on avait été l'été, le soleil aurait amorcé sa levée à cette heure-là!).

La logique voudrait donc que je me couche tôt. C'est là que mon côté rebelle (ouhhhh!) embarque.

J'ai fait une bonne sieste avec chéri après le souper, ce qui me permet de me déplacer dans la maison sans perdre l'équilibre. Je vais donc de ce pas poursuivre le visionnement du coffret de La vie, la vie reçu à ma fête et dont je n'ai que les deux premiers disques d'écoutés (honte à moi!).

C'est ça un début de vacances pour une bizarre: se coucher le plus tard possible parce que pas de cadran le lendemain. Quand on est en forme, ça peut être logique, mais quand on est cerné jusqu'aux oreilles, c'est pas fort... mais c'est ce que je ferai quand même, délinquante que je suis!

(En plus, ça me permettra de dormir plus longtemps avec chéri demain matin!)

2007/12/21

Oui, non, peut-être

Fatiguée, épuisée, fragilisée.

Moi qui suis habituellement d'un positivisme déconcertant par rapport à ma vie, voilà que le côté sombre menace de prendre le contrôle.

Je suis de l'école de pensée qui dit: "Commence par y croire sincèrement et ça se produira peut-être." Ce n'est pas infaillible comme technique, le peut-être y prend d'ailleurs toute son importance. Ainsi donc, je visualise, je rêve, je scénarise, je planifie, j'espère, je prie et surtout, j'y crois.

Enfin, jusqu'à pas longtemps. Jusqu'à ce que la vie joue délibérément avec mes projets et mes rêves en m'envoyant des signes contradictoires à répétition. Bien beau être positive, ça ne signifie pas pour autant être naïve!

J'ai donc fait un stage dans une autre école de pensée, celle qui dit: "Attends-toi toujours au pire, si le pire arrive, ce sera moins décevant, et si c'est le meilleur qui se pointe, ce sera encore plus plaisant." Il y a quelque chose de pervers dans cette phrase... quelque chose qui me rend mal à l'aise. Mais bon, à force d'avoir de la peine pour des "non" qui n'en sont peut-être pas, cette vision devient tentante.

À la longue, je me rends compte que ce n'est fait pas pour moi ce mode de pensée fataliste. Ça me rend triste, ça m'enlève l'envie de me battre. J'ai l'impression de devoir faire mes deuils avant que mes rêves ne meurent.

Reste la troisième école: "Demande ce que tu veux, lâche prise et prend ce qui arrivera au fur et à mesure." Bien que moins exigeante au point de vue de la pensée, ça demande une vigilance constante (dans mon cas!). Laisser aller les choses, cesser de tenter d'analyser la situation pour deviner si c'est favorable ou pas. Faire confiance à la vie sans pour autant se transformer en marionnette.

Combien de temps je tiendrai? Aucune idée, mais j'ai vraiment envie d'essayer. J'ai besoin de cesser de me tourmenter pour des questions dont la réponse ne dépend pas uniquement de moi, peu importe l'importance de la-dite question.

Est-ce que j'irai en vacances? Est-ce que j'aurai un jour mon propre chez-moi? Est-ce que j'aurai des enfants? Est-ce que je vais conserver mon boulot encore longtemps? Ce genre de questions, accompagnées des dilemnes de la vie de tous les jours (genre qu'est-ce que je mange ce midi) deviennent rapidement insupportables.

Alors voilà. "Oui", "Non", vous me faites trop mal, je ne veux plus vous entendre à moins d'une preuve en béton de la finalité. "Peut-être", toi aussi, tu dois te taire et laisser mon âme errer sans but, vivre sans les montagnes russes irréelles et irrationnelles de l'espoir et de la résignation.

Je sais ce que je veux. Je sais ce qui meuble mes pensées depuis toujours. Advienne que pourra et s'il neige, on pelletera. J'abandonne l'analyse et attendrai les résultats.

2007/12/17

Et le gagnant est...

Un corps chaud sous les couvertures, tout contre le mien.
Une épaule accueillante et réconfortante pour y appuyer ma tête.
Un bras protecteur et jaloux qui me retient.
Une main caressante et aimante qui erre dans mon dos.
Un torse velu où mes doigts s'inventent des chemins sans fin.
Un coeur qui bat, toujours, inlassablement.

Lorsque tout ça entre en compétition avec la neige, le vent, le froid et tout ce qui va avec, pas étonnant d'hésiter autant avant de sortir du lit!

Double fonction

La douche matinale, outre le fait qu'elle a évidemment une fonction hygiénique, complète également le mandat amorcé par le réveil-matin.

Prise le soir, il manque donc une bout important le lendemain, même si on est propre propre, propre...

C'est fou les prises de conscience qu'un manque peut générer...

2007/12/16

J'avoue

Une tranquille journée en pyjama à emballer les cadeaux en chantonnant tant bien que mal des chansons de Noël, voilà ce qu'il y avait au programme.

Finalement, séances de pelletage à répétition et pas un maudit cadeau d'emballé.

La semaine à venir sera une course folle, exactement ce que je m'acharne à éviter à chaque année.

Alors qu'on se demande toujours s'il y aura de la neige pour Noël, cette année, on a notre réponse...

Si c'était moi qui contrôlait Miss Nature, il y aurait un minimum de neige et ce, uniquement deux semaines par année.

Non, je ne fais pas de ski ou tout autre sport d'hiver qui sauraient me faire apprécier des journées comme aujourd'hui. Oui, je déteste la neige et encore plus lorsqu'il faut la pelleter. Voilà, c'est dit.

2007/12/14

Voyage à Cuba




On ne peut pas dire que ça manque de sable! Pfff...

2007/12/13

Mauvais karma

Tellement d'efforts malgré tous les mauvais coups du destin pour quand même garder la semaine de vacances dans le sud réalisable en février et voilà que ça s'écroule encore. Je me prive, je gère fermement mon budget, je rationne mes dépenses, probablement pour rien.

J'en rêve depuis des mois et plus le temps avance, plus le doute gagne des votes.

La voiture, les dents, la maison, et quoi encore?

2007/12/12

Etc., etc., etc.

Il me reste une semaine et un jour avant le congé de Noël... il est temps...

Une paire de soulier qui est restée des années dans la garde-robe ne devrait peut-être plus en sortir pour autre chose que pour les poubelles. Malgré tout, une fois un certain seuil de douleur passé, on a tellement mal qu'on ne sent plus rien... et on se lance quand même sur la piste de danse. Conclusion de l'histoire? Les souliers sont retournés se cacher jusqu'à la prochaine fois où je me demanderai inévitablement encore pourquoi je les ai toujours et que la réponse sera inévitablement la même: c'est les seuls qui conviennent à la tenue et t'es trop pauvre pour investir dans une autre paire qui ira à son tour moisir dans le placard faute d'occasions dignes de mention...

Lorsque la peau du bout du doigt "qui fait tout" décide de sécher, de fendiller, de se soulever, etc., etc., etc., c'est une très mauvaise idée de se lancer dans le ménage... Les produits nettoyants n'ont pas beaucoup de compassion...

Il suffit de ne pas pouvoir faire quelque chose pour en avoir une envie folle. Si j'avais pu prendre un bain ce soir, pas certaine que l'idée m'aurait parue aussi séduisante... Si j'avais eu des sous, pas certaine que le besoin d'avoir une nouvelle tite-robe d'hiver se serait autant fait sentir...

C'est vrai, c'est plutôt joli de voir les arbres couverts de givre. Par contre, ce n'est pas nécessaire de se pâmer à chaque passage devant une fenêtre! Ne l'oublions pas, on est en hiver et ça veut dire qu'il fait froid, qu'il faut s'habiller en multi-couches, qu'on ne peut sortir les cheveux humides, qu'il faut pelleter encore et encore, etc., etc., etc., ...

À toi, amateur de films dramatiques, je t'invite dans ma tête. Depuis quelques temps, plusieurs tournages sombres et mélancoliques sont en cours. Évidemment, peut-être à cause de coupures de budget, il y a fréquemment des arrêts de production pour laisser la place à des comédies mielleuses teintées de bonheur mur-à-mur. Il n'est donc pas garanti que le trame sera excessivement logique et bien ficelée.

À faire avant Noël: finir l'achat des cadeaux, emballer tout ça, faire un peu de cuisine, beaucoup de ménage, etc., etc., etc.

Alors que mon travail m'amène souvent dans la grande métropole, voilà que le vent tourne et que je devrai me rendre à Québec à deux reprises pendant mes vacances. Pas moyen de décrocher pour vrai... Note à moi-même: imprimer les trajets avant de quitter le bureau pour les deux semaines de simili-vacances.

Tout ce bavardage inutile devait m'enlever le goût de me faire tremper dans l'eau chaude avec un bon bouquin. Échec.

2007/12/07

L'après-tempête à Montréal pour une touriste...

Hier soir, sortie à Montréal pour le boulot.

Évidemment, alors que la neige longeant les trottoirs est maintenant chose du passé chez moi, c'est le chaos dans la métropole!!! Après des recherches pour trouver un mini-bout de rue sans voiture, ni banc de neige, ni borne-fontaine, ni stationnement interdit, etc., pour garer ma voiture, la chance me sourit et quelqu'un me laisse généreusement sa place, sans le savoir évidemment.

S'en suit un casse-tête pour s'assurer que tout est sous contrôle afin d'éviter que l'histoire se répète (un billet d'infraction pour stationnement interdit remporté un peu plus tôt cet automne). Finalement, rien n'est clair, comme la dernière fois, mais comme la rue est bondée de voitures stationnées, on choisit de mettre notre destin dans les mains de qui le voudra bien.

À la sortie du spectacle, non seulement ma voiture est toujours là, mais en plus, les essuies-glace ne se sont pas transformés en geôliers!

Je m'habitue à Montréal, mais après une importante chute de neige, il faut être zinzin pour quitter sa belle région pour s'y aventurer délibérément!

Discipline zéro

Quoi de plus désespérant que de tenter de se remettre au boulot après un diner de Noël... il neige, la nuit dernière a été courte, c'est vendredi... décidément, rien pour motiver une âme aux idées vagabondes!

Je n'écris jamais à partir du bureau, c'est vraiment le signe que ma motivation a foutu le camp!

2007/12/02

Voeu pieux

"L'an prochain, on s'y prend plus tôt!"

Ben oui... Résultat, première fin de semaine de décembre, la fabrique de biscuits s'ouvre pour une autre production intensive devant se débuter et se conclure en deux soirées. Pourquoi cette urgence? Parce qu'après, le boulot, le magasinage, les partys et le sommeil nous grugeront chaque parcelle de temps.

C'est fait, on a réussi. On est crevée, mais l'année 2 de la nouvelle tradition est complétée.

Alors que nous décorions les biscuits avec toute la créativité dont ma soeur et moi pouvons faire preuve, elle dit: "Penses-tu que les gens qui les recevront se rendront compte du temps que nous avons mis?" Honnêtement, je ne sais pas. Certains oui, d'autres pas. Une chose est certaine, c'est que nous, nous seront fières de les donner!

Une fois la répartition terminée, nous nous sommes répétées (pour la millième fois en deux jours) que, l'an prochain, nous nous y prendrons plus tôt! Et le plus beau dans tout ça, c'est qu'on y croit vraiment!

Out of order

Depuis quelques heures, je suis en vacances pour trois jours.

Et je compte bien en profiter pour décrocher.

Évidemment, miss météo annonce une tempête. Rien n'est parfait dans la vie...

2007/12/01

Ça va venir!

Parce qu'on se dit je t'aime tous les jours,
Parce qu'on se réserve de petites surprises pour quand bon nous semble,
Parce que mon portefeuille a fait des réserves, mais pas tant que ça,
Parce que tout ça et plus encore, j'ai cherché et cherché l'idée du siècle.
Je voulais que cette journée soit spéciale, qu'elle soit tout au moins différentes des précédentes et des suivantes.

Finalement, j'ai trouvé!

Malheureusement, la vie étant ce qu'elle est, je ne sais quand je pourrai mettre mon plan à exécution. Pourquoi? Le boulot, diantre, le boulot! Ha oui, il y a aussi la fatigue, comment pouvais-je l'oublier! Ce soir? Demain soir? La semaine prochaine? Aucune idée...

Je ne sais quand je serai rendue au bout de mes plans, mais j'y arriverai! Ainsi, tes trente-quatre ans resteront sur le bord de la porte plus longtemps... c'est une bonne chose, parce que trente-quatre ans et un jour, c'est vraiment vieux!

Bonne fête mon amour!